mardi 12 août 2008


Bon, bah, j'espère que va bien pour vous pendant cette période de vacances.

Je commence par un coup de réclame pour un livre, a savoir 1984. Ecrit par Georges Orwell juste avant sa mort, c'est un roman d'anticipation. L'auteur se concentre d'abord sur un personnage, le personnage principal, puis peu à peu, sans que l'on s'en rende vraiment compte, la vision qu'il nous donne de son monde est de plus en plus large et intense. C'est un livre assez terrifiant, non pas qu'il fasse peur comme un roman d'horreur mais plutôt que la vision que l'on a du monde est terrifiante par sa nature et son contenu. Mais je n'en dirai pas plus pour ceux qui souhaiteraient lire ce livre.

Je rajoute un lien vers un article que j'ai trouvé et lu (forcément) en cherchant la photo pour cet article et que j'ai trouvé édifiant!! (les deux points d'exclamation ne sont pas de trop.) click here.
Fainéantise de vacances oblige l'article s'arrête ici pour aujourd'hui, mais je reviendrais... HAHAHAHAHAHAhahahaha (entendez le comme un rire sardonique... ;-))

mardi 6 mai 2008

Evolution, Révolution, Changement

- »Quoi?! Vous êtes sûr de ce que vous avancez?
- »Bien évidemment, j'ai même vérifié plusieurs fois pour voir si je ne m'était pas trompé!
-J'ai quand même du mal a admettre ce que je viens d'entendre.
-Je vous comprends, moi aussi j'ai eu du mal à l'accepter une fois mes conclusions finies.Quand on y réfléchis à tête reposée cela peut paraître logique, depuis le temps que la musique et les instruments existent.
-Oui, d'accords, mais quand même!! Qu'il ne reste aucune partition à créer!! Vous vous rendez compte de ce que cela signifie? Cela veut dire que toutes les chansons, les créations musicales que nous entendrons a partir d'aujourd'hui auront déjà été faite. »
-Oui oui, ne vous inquiétez pas, j'ai bien saisi l'ampleur de ma découverte. Cela dit, comme je vous l'ai dit tout a l'heure, plus de 2000 ans se sont passé depuis l'invention de la musique! Les gens ne lasseront pas tout de suite. »

Quelques jours passèrent et l'information fut diffusée dans tout les pays. Cependant, il n'en résultat pas de polémique ou de grande questions, cette information en interpella quelques uns mais pour la plupart elle passa comme une lettre a la poste.
Les premières années qui suivirent l'annonce de la nouvelle les stations de radio ainsi que les chaînes de télévisions ne modifièrent pas leurs programmations. Certain artistes continuèrent de concevoir de la musique malgré l'impossibilité d'en créer de nouvelle et elle se vendait assez bien. En fait tout se passait comme si aucune annonce concernant l'impossibilité patente d'inventer quelque nouvelle musiques que ce soit n'avait été diffusée. Cependant, les populations commençait à en avoir marre d'entendre toujours les mêmes mélodies. C'est à ce moment là que se créèrent de nouvelles stations de radio qui diffusaient des chansons venue de d'autre continent. Au début très peu de personnes écoutaient ces stations, mais, au fur et à mesure, elles devinrent de plus en plus écoutées, de plus en plus de gens avait leurs poste réglé sur ce type de station, au point d'en délaisser les anciennes firmes radiophoniques qui avait fait l'unanimité autrefois. Ces mêmes firmes décidèrent de passer de la musique plus ancienne, et pour éviter que les gens ne se lasse trop vite elle passèrent un accords qui leur délimitait temporellement la musique qu'elles pouvaient diffuser. Les années tant à tant étaient pour telle station alors que cet autre intervalle historique étaient pour cette autre stations, et ainsi de suite avec toutes les autres stations de radio et toutes les époques ou il y avait eu de la musique. Cette répartition avait l'avantage de distribuer équitablement dans le temps les profits réalisés grâce a l'écoute des différentes radio. De plus, cette dernière permis aux différentes populations de s'intéresser aux musiques provenant de d'autre civilisations. L'apogée de la communication entre les pays fût atteint à cette époque grâce au partage de la musique propre a son pays avec d'autres. Chaque personne se préoccupait des autres, surtout pour découvrir un nouveaux style musical. Cet ingénieux système de répartition permis de tenir plusieurs dizaine d'années. Cependant les auditeurs finirent par s'ennuyer de n'avoir pour se détendre que des vestiges musicaux d'un autre temps qui n'ont été que trop diffusés
Toutes les radios et chaînes musicales finirent par être complètement abandonnées. Des quantités phénoménales d'argent furent dépensées pour essayer de les renflouer mais sans succès. Beaucoup d'investisseurs et d'entreprises firent faillites et se retrouvèrent sur la paille. Des modifications comportementales des populations ainsi que des États purent s'observer: les pays et leurs habitants commencèrent àç se renfermer sur eux même puisque le troc musical ne rapportait ni financièrement ni émotionellement. Les populations se replièrent sur elles mêmes à cause des effets secondaires dûs à la non écoute de musique, c'est-à-dire que les gens devinrent aigri, de plus en plus agressif et violent que d'accoutumé. L'effet fut d'autant plus détonnant que set épisode arriva juste après une période de grande ouverture. Progressivement, la situation mondiale évoluait en miroir de la période d'échange qui précédait, c'est-à-dire qu'au lieu d'arriver a un haut niveau d'échange culturel les pays fermèrent leurs frontières aux cultures extérieures et essayèrent de s'autosuffire culturellement, comme une autarcie culturelle!
Certains individus en profitèrent pour manipuler les êtres plus faible ou affaibli mentalement en créant de nouvelles religions ou sectes.. L'une d'elles s'appelait le Musiscianisme, les prêcheurs était les Musiciens et les fidèles des Musiscianistes. Cette religion promettait a ses fidèles que, s'ils suivaient leur doctrine, Déiscien, le Dieu musicien, descendrait sur terre et leurs donnerait la possibilité de créer de nouvelles mélodies et de sortir de l'impasse culturelle dans laquelle les hérétiques, ceux qui gaspillait la musique en ne faisant que des chansons absurdes et inutiles, les avaient fourvoyés. Au fur et a mesure , cette nouvelle religion pris le pas sur celles qui ne promettait que le paradis, et pas un renouveau culturel. « Le paradis c'est le salut de l'âme mais une fois la personne morte, nous nous voulons et vous proposons le salut maintenant! » disait les musiciens pour prêcher la bonne parole. Ce nouvel opium du peuple finit par « récupérer » les adeptes des autre dogmes et le Musicien suprême, le représentant de tout les musiscianistes, put contrôler grâce a ses suppôts tout ses croyants par la peur de ne pas accéder au renouveau musical.
Un jour il ordonna que l'on détruise toutes les bandes musicales existantes pour permettre un renouveau musical complet. Une vague d'attentat fût perpétrées à la fois chez les habitants ainsi que chez les quelques disquaires qui restait afin de récupérer tout les CDs, toutes les cassettes audio et tout ce qui pouvait contenir de la musique. Pour détruire tout ce qu'il avait récolté, le Musicien suprême décida de faire, dans les principales capitales du monde un gigantesque autodafé de bande musicale. Ce fût les principales actions de ce Musiciens suprême, il ne tarda pas a mourir une fois tout ses autodafé fini. Un second Musiciens suprême lui succéda, choisis parmi les musiciens les plus assidu. Ainsi plusieurs Musiciens suprême se succédèrent. Cependant, les gens commencait a se désintéresser de cette religion qui proposait le salut de l'âme maintenant, justement parce que plusieurs génération l'avait attendu et ne l'avait pas eu. Depuis l'autodafé ordonné par le premier Musicien suprême, il n'y avait pas eu de musique de créée parce que tout les fidèles était en attente de la descente de Déiscien. La génération qui suivit la mort du dernier des Musiscien suprême était vierge de tout dogme concernant la création de la musique. Elle put redécouvrir les instruments de musique que leurs aïeux avaient laissé de côté en attendant le salut et recommencèrent à créer la Musique...

vendredi 21 mars 2008

Tient je met un titre pour une fois


Aujourd'hui je ne passerai pas par quatre chemins. Notre société nous éloignes les uns des autres. Je m'explique: chaque jour, à la télé, dans les journaux, quel qu'ils soient, à la radio, sur des panneaux publicitaires, même à l'école on nous incite toujours a être meilleurs que notre voisins: répondre à une question sur ce qui c'est passé la semaine passé, sur LA radio qu'il faut écouter, répondre a une annonce de travail ou de financement, savoir plus de trucs que son voisins et le montrer, car c'est important de montrer que l'on est supérieur aux autres! Tout ça pour obtenir de l'argent, des places pour un concerts, des voitures, des voyages, une bourse d'études, ...Qu'est ce que ça provoque? Ça provoque juste un surdéveloppement de notre esprit de compétition, de notre rivalité entre personnes et ce qui, forcément, n'aide pas les relations sociales à s'élargir au delà du cercle fermé de la famille et de nos quelques amis. Il arrive souvent que les autre personnes côtoyé le soit par intérêt, pour notre intérêt personnel.
Arghhh...Ce n'est pas très gai tout ça! C'est sur que ça ne fais pas voit la vie du côté vert des choses (encore que cela puisse plaire a certain, ce que je respecte). Tout ça n'est pas très positive attitude...Ne vous inquiétez pas, elle est toujours avec moi, je ne l'ai pas laissée au profits de la constatation désespérée de faits actuels et pas toujours jojo!
Laissons la parler maintenant: C'est sûr que c'est pas très jojo tout ça, mais il ne tien qu'a nous de nous extraire de l'hyperrivalité générée par notre société (qui d'ailleurs a bon dos franchement. C'est toujours de sa faute et jamais de ceux qui en profitent et même en abuse. Faudrait voir à se remettre en question desfois, ce n'est pas toujours la faute des autres). Certes ça n'est pas facile parce que ça demande des efforts, de la compréhension, souvent un changement de nos états d'esprits, de notre manière de voir les choses. Mais ça ne veut pas dire devenir quelqu'un d'autre. On peut rester soi même tout en changeant d'avis, d'états d'esprits ou de manière de penser, il suffit de le vouloir. Comme le dit le dicton: "Quand on veut on peut". Le sort ne s'acharne pas contre nous, c'est nous qui ne voulons pas voir où nous avons peut-être fait une erreur ou où nous nous somme trompés.
Sur ces elles parole je vous laisse méditer ou continuer votre journée comme si de rien n'était, ce que je respecte parfaitement, ou autre choses.

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mardi 19 février 2008

Tout à l'heure, Mr brushing avec la raie sur le côté en train d'énoncer d'un air dégagé les "choses" qui se sont passée aujourd'hui. Un pays vient d'acquérir son indépendence, il subit des attentats terroristes internes, des gens gardes chez eux des immigrés clandestins tout en sachant bien qu'ils risquent au moins 3 ans de prisons, le gouvernement qui incite, que dis-je, qui proclame la délation pour obtenir des informations sur une guerre des gangs à Paris...
Il y a longtemps, des pays d'Afrique deviennent indépendants et les deux grandes puissances continuent de se faire la guerres chez eux, des gens on ouverts leurs portes à des juifs pour les cacher des forces du Reich qui cherchent à les exterminer, le gouvernement Sovietique qui déclare la délation comme juste et nécéssaire pour le bon fonctionnement de l'état communiste.

L'histoire se répète!

Tant qu'on aura pas compris nos erreurs on les recommencera et ce juqu'à ce que l'on en ait pris conscience et qu'on fasse ne sorte de ne pus les recommencer. Cependant, les qualités ne se perdent pas avec le temps non plus, heureusement. Tant qu'il y aura des hommes, il y aura de l'espoir, la fraternité, l'amour de son prochain, l'aide d'autrui, le soutien au personnes qui en nécécitent ou en demande, sont des valeurs qui transcendent le temps et l'espace.

L'espoir fait vivre, nous sommes vivants.

vendredi 11 janvier 2008

C'est l'histoire d'...



C'est l'histoire d'une fille.
C'est un jour exceptionnel aujourd'hui pour elle, en fait, pour elle, chaque jour est exceptionnel. Aujourd'hui elle a décidée de se balader tranquillement en ville, elle irait là ou ses pas la guiderai. Une fois descendue du tram, elle observe tout autour d'elle. Elle a déjà dû descendre à cet arrêt au moins une dizaine de fois mais elle observe quand même. Elle revoit des gratte-ciel, des gens, des boutiques, des rues, des voitures qu'elle a déjà vu mainte et mainte fois.
-"Tient, ils ont retagué cet abri bus. C'est mieux que la dernière fois je trouve" se dit-elle à elle même.
Elle commence à marcher droit devant elle. Elle passe devant un immeuble tout juste ravalé et se dit qu'il faisait plus authentique avant d'être refait. Elle redécouvre ces choses qu'elle a vue des dizaine de fois auparavant lors de ses dernières virées en ville, avec ou sans ses amies. Les gens aussi elle les observes. Elle en voit de toute sortes, des mecs en costar-cravate avec une serviette à la main, des femmes affairés a regarder le prix des bottes pour leurs prochaines sorties ou en train de regarder dans la vitrine d'un magasin pour chercher une tenue qui irait à leur compagnons. Elle voit quelques personnes assise dos à un mur avec des chiens qui parlent sans faire attention au gens qui se bousculent devant eux. Elle revoit ces gens qui ont l'air de passer leur vie en ville toujours au même endroit, au coin d'une rue en train de discuter avec des potes, devant les vitrines entrain de baver sur ce qu'elles présentes, les musiciens ambulants qui nous offrent leur musique.
Tout d'un coup elle se rend compte qu'a force de marcher elle se retrouve devant une étendue d'herbe, elle cherche un banc et s'assoit dessus. Une fois assise elle laisse son esprit vagabonder sur tout ce qui lui passe par la tête. Elle a plein de choses qui lui passe par la tête. Elle décide de prendre du recul sur elle même et de regarder ses pensée passer comme elle l'a fait tout à l'heure. Elle ferme les yeux et voit dans sa tête toute ses pensées qui défilent. Elle voit toutes ses idées qui passent devant elle: "mes devoirs ne sont pas fait" porte une pensée, "qu'est-ce que je suis bien ici" porte une autre, "si seulement il savait ce que je ressentais pour lui" tient une autre, "vivement demain, je revois mon parrain". Mais là elle ne pense pas à demain ni à hier, elle ne pense pas. Elle se regarde de loin assise sur un banc. Elle se laisse aller puis fini par tomber dans un espèce de sommeil conscient.


Elle se releva, elle était étendue par terre. Elle regarda autour d'elle. Elle était dans un endroit inconnu mais elle n'avait pas peur. Elle avait l'impression de se trouver partout et nulle part à la fois. C'est comme si elle était là et absente en même temps. Elle se remit à marcher, mais maintenant elle n'arrivait pas à marcher tout droit. Elle marchait de travers naturellement, c'était plus facile que de marcher droit même. Elle entreprit de regarder une seconde fois autour d'elle afin d'identifier quelque chose de familier. Elle trouva la Mort. Elle était adossé à un arbre. Cette dernière ne ressemblait pas à une silhouette fantomatique tourmentée, elle n'était pas vêtue d'un poncho noir troué à capuche, elle n'avait pas non plus une grande faux à la main. La Mort était une femme, plutôt jolie d'ailleurs. Elle était de taille moyenne et élancée, ses cheveux était mi-long, de couleur verte et traversés par des lignes blanche ondulées inégalement dans tout les sens. Ils la faisait penser à un cactus. Elle portait un jean taille basse bleu assez large ainsi qu'un haut violet clair sur lequel était écrit "I'm not dead", ses chaussures étaient noires. Son visage était rayonnant, ses yeux vert acidulés, elle avait un nez en trompette et sa bouche de taille moyenne était découpé d'un sourire magnifique qui laissait apparaître des dents blanches parfaitement alignées. Elle avait une expression faciale qui laissait volontairement transparaître sa joie.
Malgré le fait que la Mort ne ressemblait pas à l'image qu'elle s'en faisait elle sentit tout de suite que c'était elle la Mort. Elle décida d'engager la conversation et demanda, malgré sa certitude:
"Vous-êtes la Mort n'est-ce pas?
-"Oui, comment a tu deviné? Je ne ressemble pas vraiment à l'image que l'on me donne sur terre. répondit la Mort.
"Je l'ai senti quand je vous ai vue.
"C'est rare que l'on se rende compte tout de suite de qui je suis et souvent les gens me méprise, sûrement à cause de la manière dont ils voient ce que je fais.
"A ce propos, est-ce que je pourrai vous poser une question sur ce que vous faites?
"Bien sûr, je te répondrai avec plaisir.
"Pourquoi est-ce que vous tuez les gens? En faisant ça vous déchirez des gens, des familles, des couples. Vous leurs enlevez un, parfois plusieurs, être cher. Je trouve ça dégueulasse, surtout si c'est juste pour votre plaisir, pour vous amuser. C'est parfaitement égoïste! lui demanda t-elle le plus naturellement et avec l'air le plus dégagé possible.
"En fait je ne fais que rappeler des gens à d'autre aventures en quelque sorte. Si tu veux ils ne meurent pas dans le sens ou ils ne disparaissent pas vraiment. C'est vrai qu'ils disparaissent de votre réalité, cependant ils sont "transférés" dans une autre réalité, comme un monde parallèle si tu veux. En fait pour être exact ce n'est pas eux qui sont transférés mais ce quelque chose qui compose tout les être-vivants et minéral ou équivalents de chaque réalité. Ce quelque chose se rapproche assez de ce que vous appelez "âme" sur Terre. Mon "travail" consiste à envoyer des gens dans d'autre réalité afin qu'ils réalisent ce qui est prévu qu'ils réalisent. Par exemple, pour que tes parents naissent, ou même toi, j'ai du rappeler des gens d'un autre monde parallèle ici afin qu'ils puissent être transféré sur Terre pour qu'ils naissent à temps.
Plusieurs minutes silencieuse passèrent pendant lesquelles elle dévisageait la Mort, cherchant une quelconque trace d'ironie ou d'un signe qui montrerait qu'elle se moquait d'elle depuis le début mais la Mort paraissait on ne peut plus sincère. Elle s'assit en tailleur avec la Mort a se droite et se prit la tête dans les mains et attendit de réaliser ce qu'elle venait d'entendre. Personne ne disait rien. Au bout d'une dizaine de minutes elle se releva et dit à la Mort:
"C'est pas facile a croire...
"Je sais, mais tu n'est pas obligé de me croire.
Des tonnes de questions se bousculaient dans sa tête, elle était un peu perdu entre cet endroit inconnu et toute ses questions. Elle décida de laisser son esprit se vider par le biais de sa bouche.
"Si les gens disparaissent d'une réalité pour aller dans une autre pour accomplir ce qu'ils ont a faire, ça veut dire que tout est déjà écrit? Ou est-ce qu'on est? Est-ce que je rêve? Est-ce que je deviens folle?
La Mort, malgré la flopée de question qui lui arrivèrent aux oreilles, gardaient toujours son expression sereine et joyeuse. Elle dégageait toujours cet aura qui faisait que l'on ne pouvait que se sentir bien quand on est avec elle. La mort répondit à toute les question une par une avec beaucoup de respect dans la voix:
"Tu ne deviens pas folle, rassure toi, c'est juste la révélation sur ce que je fais qui te fait cette impression. Ici on est au carrefour de toute les réalités, c'est ici que transite les "âmes" pour aller d'une réalité à l'autre. Effectivement, on peut supposer que tout est écrit mais moi je ne suis qu'une exécutante, je fais ce que l'on me dit. Et peut-être que ce que tu vit en ce moment est un rêve, c'est a toi de faire la part des choses et de croire ce qui te plaît"
A ce moment là, elle senti une brusque envie de s'allonger monter en elle. Sans réfléchir, elle s'agenouilla, puis s'assit et finit allongé face à la Mort. Elle ferma les yeux, laissa ses penser défiler et les regarda de loin.


Elle est se relève brusquement, comme poussée en avant. Elle atterri sur ses pieds, les jambes chancelantes et l'esprit embrouillé. Elle s'assoit en tailleur au milieu du passage sans se préoccuper de ce qui l'entoure. Elle cherche dans sa mémoire ce qui vient de se passer. Plus elle cherche, moins elle trouve. Elle décide de ne pas se prendre la tête, fait le vide dans sa tête et laisse les pensées qu'elle avait regardé de loin avant de s'assoupir regagner son esprit. Elle se relève, essaye de marcher droit et y arrive naturellement. Elle regarde le soleil, il est en train de baisser. Elle se décide à rentrer chez elle. Elle se redirige vers le tram. Pendant qu'elle marche des bribes de ce qui c'est passé lui reviennent.
"La Mort, une jolie femme. La mort n'est pas quelque chose d'accablant mais quelque chose qui permet de se renouveler, de renouveler la réalité..."